Février – Juin 2020
La Villa Arson accueille l’artiste Violaine Lochu en résidence de février à juin 2020, dans le cadre du programme IMPROVISATION / INDETERMINATION
Son implication porte en particulier sur le projet d’exposition Improvisation(s) (tire provisoire) – programmée du 30 mai au 20 septembre 2020 – qui donnera lieu à un « geste » totalement improvisé et produit en circuit court. Ce projet réunit deux figures artistiques dans un rôle à la fois d’artistes et de commissaires : Violaine Lochu, artiste et poète française et João Fiadeiro, chorégraphe portugais. Ces deux protagonistes imaginent un projet collectif et évolutif qui sera aussi l’aboutissement d’une année de recherche sur l’improvisation pilotée par Jérôme Mauche avec Mathilde Roman, Alice Godfroy, Joan Ayrton, Ondine Breaud, Gauthier Tassart, Arnaud Maguet et Eric Mangion.
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Le travail de Violaine Lochu est exploration de la voix et du langage.
Dans ses performances, vidéos, pièces sonores, elle croise ses propres recherches vocales avec une relecture libre de différentes traditions écrites ou orales (mythes, contes, chansons populaires…), des réflexions théoriques (nourries de psychanalyse, de linguistique, de sociologie…), et un matériau sonore recueilli lors des nombreuses rencontres auxquelles sa pratique donne lieu.
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Violaine Lochu est diplômée de l’ENSAPC (Ecole nationale supérieure d’art de Paris Cergy) et titulaire d’un Master II de recherche en arts plastiques (université Rennes 2). Lauréate du prix Aware 2018 et du prix de la performance 2017 du Salon de la Jeune Création, elle a performé entre autres au Centre Pompidou (festival Extra 2018), au Palais de Tokyo (25 ans de D.C.A, 2017), lors de Parade for FIAC 2017, au Jeu de Paume, au FRAC Champagne Ardennes, au Kunsterein de Munich en Allemagne, aux Bouffes du Nord et au théâtre le 4e art de Tunis (festival La voix est libre, 2015)…
Son travail a été exposé lors de nombreuses expositions collectives notamment au MAC VAL (Tous de Sangs Mêlés, 2017), au Ferenczi museumi centrum en Hongrie (Reconstructing Eden, 2018), au Centre d’art Bétonsalon et à la Justina M. Barnicke Gallery à Toronto au Canada (Something more than a succesion of notes, 2013), ainsi que durant le Salon de Montrouge 2016 et le Salon de la Jeune Création 2017.
La galerie Dohyang Lee à Paris et le Centre d’Art Contemporain Chanot à Clamart ont accueilli récemment ses expositions personnelles Hinterland et Hypnorama
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