Jusqu’au 30 février 2020
Galerie Treize à Paris

Maïa Izzo-Foulquier était Thelma Hell. Elle écrivait sur le blog « Ma lumière rouge » et parlait pour le STRASS (Syndicat du travail sexuel).
La pertinence et la clarté de son écriture ont participé à définir le féminisme pute, un féminisme queer, pro-sexe, pro-libérations dans tous les sens, anti criminalisation, anti répression.

Maïa Izzo-Foulquier a réalisé des actions dans la rue, des films, elle a conçu un jeu satirique (du monde de l’art, et capitaliste en général), elle a organisé des expositions militantes, elle a mené des enquêtes, des études.
Elle a aussi réalisé de très nombreuses photographies.

L’exposition « Au départ, il y a le luxe et la misère » rassemble des pièces de 2012 à 2019.
La plupart des images de l’exposition sont issues d’une série qu’elle déploie au fil du temps, « La chambre », précédemment « Middle », qui a fait l’objet de plusieurs expositions et de parutions, ainsi que d’une publication sur laquelle elle était en train de travailler.
Chaque cliché a connu différents formats, qualités, traitements de tirages.

Cette exposition est organisée par Olga Rozenblum et Lili Reynaud Dewar, avec Simon Bouhour.

Plus d’informations sur le site de la galerie

Treize
24 rue Moret, 75011 Paris
Ouvert du jeudi au samedi de 15 h à 19 h et sur rendez-vous
treize.galerie@gmail.com