Julien Dubuisson, Ibai Hernandorena, Lidwine Prolonge, Jean-Charles de Quillacq

Disponible en librairie

      

La Villa Arson publie quatre monographies des artistes Julien Dubuisson, Ibai Hernandorena, Lidwine Prolonge et Jean-Charles de Quillacq.

Au cours de leur résidence à Villa Arson de plus de 2 ans, au titre de leur participation au programme de recherche 5/7, les artistes ont pu travailler de concert à la préparation d’une exposition — L’APRÈS-MIDI — et à la conception d’une publication monographique.

Le choix de quatre projets éditoriaux distincts est un parti pris qui souligne la pluralité des pratiques. S’agissant d’une première publication pour la majorité d’entre eux, elle constitue une occasion pour les artistes d’opter pour une approche spécifique. Celle-ci a pu être définie dans le cadre d’une collaboration avec la graphiste Marie Proyart.

L’œuvre Pavillon nocturne de Julien Dubuisson donne son unité à la publication. Cette pièce gigogne prenant la forme d’une sculpture — fermée puis déployée — et d’un film, supposait un examen détaillé tant dans une approche documentaire que critique.
Avec des textes de Thomas Golsenne et Joseph Mouton.

La pratique d’Ibai Hernandorena depuis son entrée dans le programme a confirmé l’emploi des codes de l’architecture moderniste en tant que matériaux de son travail de vidéo, scultpure et installation. Rien n’est oublié. Il faut jouer ! inscrit les réalisations récentes de l’artiste dans un environnement dont les standards graphiques et les questionnements théoriques sont issus de la modernité.
Avec des textes de Emily Butler, Audrey Teichmann et Valérie Mazouin.

Lidwine Prolonge a construit Something Must Be Wrong comme une séquence. Mêlant des photogrammes, des coupures de presse, des captures d’écran d’ordinateur et des images de performances, des photographies — c’est-à-dire les matériaux, les processus de son travail et le travail lui-même —, elle a construit un album d’images que la fiction littéraire et l’analyse critique viennent tantôt percer à jour tantôt enrubanner.
Avec des textes de Thomas Clerc et Joseph Mouton.

Mes mains dans tes chaussures aurait pu ne rester qu’un texte d’intention, écrit un jour par Jean-Charles de Quillacq, mais il est devenu l’étendard de sa pratique et de ses échos. Accompagnant les effets de redondance du travail de l’artiste, le projet éditorial couvre sa pratique récente et ses développements en cours.
Avec des textes de Isabelle Alfonsi, Sophie Orlando, Patrice Blouin et Joseph Mouton.

À paraître le 3 octobre aux éditions de la Villa Arson
Conception graphique : Marie Proyart
Publications bilingues (français /anglais)
Édition Villa Arson Nice / publications@villa-arson.org
Prix de vente : 9 €
36 € les 4 livres

Lancement à la librairie de la Villa Arson
le jour du vernissage de l’exposition L’APRÈS-MIDI, samedi 3 octobre à 18h